Qu’est ce que c’est le cancer ?


Bonjour,

Dans la période récente, nous entendons beaucoup parler du cancer (cancer du poumon, cancer du sein, cancer de la peau…etc) et toujours on pose les questions les plus fréquentes c’est quoi le cancer ? Qu’est ce que c’est le cancer ? Comment puis-je prévenir ?
donc, dans cette recherche vous allez trouver tous les réponses pour tous les questions qui tourne dans ta tête, il suffit de le lire.
N’hésitez pas à poster vos commentaires si vous avez des questions, des remarques ou des critiques. 

Qu’est ce que c’est le cancer ? 

Le cancer est une maladie chronique qui désorganise tous les tissus où elle se développe, et qui  (lorsqu’elle a été enlevée) se reproduit, dans la plupart des cas, en vertu  de la cause inconnue qui a présidé à sa génération primitive. Tous les tissu, excepté l’épiderme, les poils, et peut-être les cartilages articulaires, peuvent être le siège de cette dégénérescence : mais les mamelles, l’utérus, les testicules, sont les organes ou on l’observe le plus souvent; puis vienne la peau (surtout celle des lèvres et de la face en général), les organes internes (le foie, l’estomac, le rectum). A la peau, le cancer débute par un tubercule ou verrue ; dans les membranes muqueuses, il se développe sous la forme de polypes charnus ou fibreux ; celui des os constitue l’ostéosarcome ou ostéostéatome.

Durant la dernière décennie, plusieurs types de cancers semblent en augmentation, si dans certains cas cette progression est facilement liée à des facteurs de risque identifiés (tabac, alcool, polluants industriels reconnus cancérigènes, obésité, sédentarité, exposition au soleil) dans certains cas il est difficile d'attribuer à des facteurs précis l'augmentation observée. L'amélioration des outils de diagnostic et le vieillissement de la population explique une part importante de la progression de l'incidence de certains cancers.

Dans l’ignorance ou l’on est de la cause du cancer, la plupart des auteurs admettent une diathèse cancéreuse, c’est-à-dire l’existence d’un vise général de l’économie, qui vient de se manifester et prendre corps dans  telle ou telle partie. Rien de plus incertain non plus que les symptômes généraux du cancer; et l’on est réduit à prendre pour phénomènes caractéristiques  de cette affection son développement progressif, la tendance qu’ont les glandes voisines à se tuméfier, l’incurabilité presque constante de la maladie, à moins qu’elles ne soit enlevée tout entière, la propriété qu’elle a de se reproduire, et surtout cette altération profonde de l’organisation que l’on a appelée cachexie cancéreuse, altération qui se manifeste par l’air de souffrance et la pâleur extrême du malade, et l’état de la peau, qui est froid et sèche comme du parchemin.

 Le cancer n’est pas regardé comme contagieux, mais il peut être héréditaire. Bien qu’il ne soit pas tout à fait au-dessus des ressources de l’art, la multitude des moyens employés contre cette maladie atteste que la thérapeutique est souvent impuissante. L’aconit et le Ciguë n’agissent le plus ordinairement, ainsi que la jusquiame et la belladone, que comme narcotiques ; l’arsenic et l’iode ont été employés avec plus de succès; on signale aussi l’efficacité de la créosole, prise à l’intérieur, soit pure, soit en solution. On a préconisé, dans ces derniers temps encore, le traitement antiphlogistique, les émissions sanguines locales secondées par des tonique émollients et une cancéreuses sont accessibles aux moyens chirurgicaux, on a tenté récemment de les traiter, des le principe, par la compression; et cette méthode, que l’on doit au docteur anglais Young, parfait mériter d’être soumise à de nouvelles épreuves. Le plus ordinairement la cautérisation par une préparation arsenicale (la pate arsenicale, le caustique du frère come, etc.), ou l’ablation par l’instrument tranchant, sont les seuls moyens réellement efficaces; et, bien que le mal repullule le plus souvent, l’opération doit être faile toutes les fois que la maladie n’est point évidemment constitutionnelle, puisqu’il y a quelque chance d’une guérison radicale, ou du moins d’un atermoiement.

La première partie terminée, nous rencontrons dans la deuxième partie.

 

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